CEVAMULINE SOLUTION LAPIN

Pays: France

Langue: français

Source: ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail)

Achète-le

Ingrédients actifs:

Hydrogénofumarate de tiamuline

Disponible depuis:

CEVA SANTE ANIMALE

Code ATC:

QJ01XQ01

DCI (Dénomination commune internationale):

Hydrogénofumarate de tiamuline

forme pharmaceutique:

Solution buvable

Groupe thérapeutique:

Lapins

Domaine thérapeutique:

autres antibactériens, pleuromutiline

Descriptif du produit:

A ne délivrer que sur ordonnance devant être conservée pendant au moins 5 ans, Liste I

Date de l'autorisation:

2009-07-09

Résumé des caractéristiques du produit

                                RESUME DES CARACTERISTIQUES DU PRODUIT
1. Dénomination du médicament vétérinaire
CEVAMULINE SOLUTION LAPIN
2. Composition qualitative et quantitative
Un mL contient :
Substance(s) active(s) :
Tiamuline ..........................................................
(sous forme d'hydrogénofumarate)(soit 125 mg
d'hydrogénofumarate de tiamuline)
101,2
mg
Excipient(s) :
Alcool benzylique (E1519).................................
15,0 mg
Pour la liste complète des excipients, voir rubrique « Liste des
excipients ».
3. Forme pharmaceutique
Solution pour administration dans l'eau de boisson.
Solution limpide, incolore à jaune pâle.
4. Informations cliniques
4.1. Espèces cibles
Lapins.
4.2. Indications d'utilisation, en spécifiant les espèces cibles
Chez les lapins :
- Réduction de la mortalité due à l'entérocolite épizootique
associée aux infections à
Clostridium perfringens sensibles à la
tiamuline.
4.3. Contre-indications
Ne pas utiliser en cas d’hypersensibilité à la substance active ou
à l’un des excipients.
Ne pas utiliser avec du monensin, du narasin, ou avec tout autre
ionophore.
4.4. Mises en garde particulières à chaque espèce cible
Clostridium perfringens n’étant qu’un des nombreux facteurs
étiologiques attribués à l'entérocolite épizootique du lapin
Clostridium perfringens n’étant qu’un des nombreux facteurs
étiologiques attribués à l'entérocolite épizootique du lapin
(EEL), il est indispensable d’améliorer les facteurs d’ordre
zootechnique.
Débuter le traitement dès qu’un premier cas de mortalité suite à
une entérocolite associée à
Clostridium perfringens est
confirmé.
4.5. Précautions particulières d'emploi
i) Précautions particulières d'emploi chez l'animal
Avant la mise en place du traitement, la conduite d'élevage et
l'hygiène devraient être réexaminées par rapport aux facteurs
de risque d'expression de la maladie. Le traitement devrait être
instauré en cas d'antécédents historiques d'entérocolite
épizootique dans l'élevage et d
                                
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